La Guyane française, territoire aux réalités complexes, fait face à des défis spécifiques en matière de justice et de réinsertion sociale. L'Association D'Aide aux Familles des Détenus et aux Détenus de Guyane française (AFDG) s'engage à apporter un soutien essentiel aux individus et à leurs familles touchées par le système pénal, favorisant ainsi une intégration réussie dans la société et réduisant les risques de récidive.
Cette association a pour objet de venir en aide aux familles et aux proches des personnes détenues, en instance de détention ou en libération suite à un emprisonnement. Tous, nous travaillons mains dans la main avec les services concernés tels que les juges, les magistrats, et autres institutions concernées en cas de réels besoins ou de nécessités.
Nous sommes:
L'association Aide aux familles des détenus et Détenus de Guyane Française, fondée en 2024, est une organisation non gouvernementale qui œuvre pour le soutien et l'accompagnement des détenus et de leurs familles en Guyane française. Il est essentiel de mettre en place ce type d'association face aux divers abus de pouvoir subis envers les familles en Guyane, étant donné que nous faisons face à de forts taux d'illettrisme important en Guyane française.
Situations auxquelles, forcément, les divers services administratifs ne sont pas toujours informés. Concernant cela, je tiens à rappeler que l'illettrisme est un handicap majeur, étant donné que nous vivons dans un département décentralisé de la France Hexagonale. Une gouvernance plus étroitement coopérative est nécessaire pour garantir la discipline face aux Droits Pénal et assurer la stabilité nécessaire avec nos juges et associations pour notre jeunesse de demain.
À travers un réseau de bénévoles et de professionnels, nous proposons des services d'assistance juridique, psychologique, et sociale.
Notre association est également un lieu de partage et d'échange pour les familles et les proches des détenus.
Notre mission:
L'association AFDG poursuit les objectifs suivants :
Objectif général
Améliorer la qualité de vie et le bien-être des familles et des proches des détenus, en instance de détention ou en libération suite à un emprisonnement.
Objectifs Spécifiques
- OS1 : Informer et orienter les familles et les proches des détenus sur leurs droits et leurs démarches.
- OS2 : Accompagner et soutenir les familles et les proches des détenus dans leurs difficultés matérielles, psychologiques, sociales et juridiques.
- OS3 : Favoriser le maintien et le renforcement du lien familial et social entre les détenus et leurs familles et proches.
- OS4 : Préparer et faciliter la réinsertion des détenus et leur réintégration dans leur famille et leur environnement.
Indicateurs de suivi
Pour mesurer l'atteinte de ces objectifs, l'association AFDG utilise les indicateurs suivants :
Indicateurs de résultat
- IR1 : Nombre et profil des familles et des proches des détenus bénéficiant des services de l'association.
- IR2 : Taux de satisfaction des familles et des proches des détenus par rapport aux services de l'association.
- IR3 : Nombre et qualité des contacts entre les détenus et leurs familles et proches.
- IR4 : Nombre et profil des détenus ayant un projet de réinsertion et bénéficiant d'un accompagnement de l'association.
Indicateurs d'impact
- II1 : Evolution du bien-être et de la qualité de vie des familles et des proches des détenus.
- II2 : Evolution du sentiment d'isolement et de stigmatisation des familles et des proches des détenus.
- II3 : Evolution du lien familial et social entre les détenus et leurs familles et proches.
- II4 : Evolution du taux de récidive et du taux de réinsertion des détenus.
Ce que nous proposons comme services et activités:
L'association Relais AFDG propose les activités et les services suivants aux familles et aux proches des détenus, en instance de détention ou en libération suite à un emprisonnement :
- Un accueil téléphonique et physique, du lundi au vendredi, de 9h à 17h, pour répondre aux questions, donner des informations, orienter vers les interlocuteurs compétents, etc.
- Un accompagnement psychologique, individuel ou collectif, assuré par une psychologue diplômée, pour aider les familles et les proches des détenus à exprimer et à gérer leurs émotions, à surmonter le traumatisme de l'incarcération, à préparer la sortie du détenu, etc.
- Un soutien matériel, sous forme d'aide financière, de prêt de matériel, de don de vêtements, de produits d'hygiène, de denrées alimentaires, etc., pour aider les familles et les proches des détenus à faire face aux dépenses liées à la détention et à leurs besoins de base.
- Un espace d'écoute, d'échange et de convivialité, sous forme de groupes de parole, d'ateliers thématiques, de sorties culturelles, de repas partagés, etc., pour permettre aux familles et aux proches des détenus de rompre l'isolement, de partager leur vécu, de se sentir soutenus et compris, de se divertir, etc.
- Un service de transport et d'hébergement, pour faciliter les visites au parloir, en proposant des navettes, des covoiturages, des hébergements solidaires, etc., à des tarifs préférentiels ou gratuits, selon les ressources des familles et des proches des détenus.
- Un service de médiation familiale, pour favoriser le maintien et le renforcement du lien familial et social entre les détenus et leurs familles et proches, en proposant des visites médiatisées, des activités ludiques et éducatives, des conseils et des outils de communication, etc., en collaboration avec les services pénitentiaires d'insertion et de probation (Spip).
- Un service d'insertion professionnelle, pour préparer et faciliter la réinsertion des détenus, en proposant des formations, des stages, des emplois, des conseils et un accompagnement personnalisé, en partenariat avec Pôle emploi, les missions locales.
En intégrant le fait que, dans un univers multipolaire et interconnecté, notre réussite dépendra étroitement de nos réelles motivations à vouloir effectivement faire évoluer les choses dans un sens positif, en vue d'un vrai projet d'accompagnement pour les familles, les détenus en fin de peine qui, surtout, font face à la surpopulation carcérale, ainsi que les conditions de détention jugées et estimées hors-normes depuis 2015. Les réformes suggérées, ainsi que les lois textuelles votées par le système d'exploitation françaises, ne fonctionnent plus en Guyane. Nous devons être réalistes, pourquoi je vous le dis ? Car il y a des familles et des enfants derrière chaque détenu et qu'en Guyane, il faut être honnête, presque tout le monde se connaît. Nous serons les premiers à attaquer le mal directement à la racine et à faire savoir que le manque de civisme doit cesser en Guyane et qu'il faut respecter les familles, peu importe la couleur de peau. Car toutes les personnes de cette association devront faire qu'un en matière de suivi des jeunes, le manque de civisme civil envers la société et ses droits qui doivent être respectés en vertu de nos lois dans le pays.